McLaren qui pourrait être sacré champion du monde des constructeurs et dépasser Williams au bilan des équipes les plus titrées (Ferruccio attention McLaren arrive )
McLaren toujours qui met fin au contrat d'Alexander DUNNE en F2 alors qu'il était dans sa première saison, pas dégueulasse d'ailleurs, dans cette catégorie.
Dans deux jours Alpine annonce qu'il le signe
"l'Empire d'Essence" de J. Klaxon aux Editions Catbert
Parfois on regarde les choses, telles qu'elles sont, en se demandant pourquoi.
Parfois on les regarde, telles qu'elles pourraient être, en se disant pourquoi pas.
Intéressant cet interview de Hadjar, on comprend mieux le personnage. Son ambitieux me parait "normale", légitime je ne sais pas, mais normale. Sinon il n'a rien à faire en F1.
Autre interview à écouter. Pas du tout la même approche que Hadjar d'ailleurs.
"l'Empire d'Essence" de J. Klaxon aux Editions Catbert
J'aime bien l'approche d'Ocon qui fait montre d'une belle maturité. Pour ce qui est de l'ambition de Hadjar, il est évident qu'elle est
compréhensive et nécessaire mais, à mon avis, un tantinet disproportionnée pour un rookie.
Quand je lis ce que je lis, quand je vois ce que je vois, quand j'entends ce que j'entends, je suis heureux de penser ce que je pense
Une purge ce tracé de Singapour et cette édition en particulier avec un vainqueur surprise, un accrochage au premier tour entre les rivaux pour le titre, et, miracle, une course sans sa traditionnelle voiture de sécurité.
Bref, il y a quand même de quoi faire le plein de tops et de flops et une nalyse foutraque du GP le plus soporifique de la saison.
Les tops
Lando Norris
On peut débattre pour savoir si les commissaires ou McLaren auraient dû intervenir après son contact au premier tour avec Oscar Piastri, mais Lando Norris est indéniablement l'un des gagnants du jour, puisqu'il a repris trois points à son principal rival.On a souvent critiqué Norris (parfois à juste titre) pour ses lacunes en course, mais il a été brillamment agressif au premier tour à Singapour.
Taper l'arrière de la Red Bull de Verstappen était une erreur, certes, mais se ranger sagement derrière Piastri en aurait été une aussi. Norris a vu une ouverture pour forcer le passage, il l'a saisie sans causer de dégâts majeurs ni écoper de pénalité. Mission accomplie.
Pour le troisième week-end consécutif, Norris marque plus de points que Piastri et a presque effacé les 18 points perdus à cause de sa panne à Zandvoort.
George Russell
On peut affirmer sans trop se tromper que c'est la meilleure saison de la carrière de Russell en F1.
Mais on avait tendance à l'oublier ces derniers mois, avec la baston interne chez McLaren, la menace grandissante de Max Verstappen, et la baisse de régime de Mercedes. Même sa deuxième place à Bakou est passée un peu sous les radars.
Mais ce week-end, impossible de le rater. Deux tours de qualif époustouflants, et une course dominée de la tête et des épaules pour sa deuxième victoire de la saison. Magistral.
C'est frustrant que ces rappels dépendent si souvent des circonstances chez Mercedes, mais Russell a parfaitement saisi cette chance pour montrer quel pilote redoutable il peut être.
Fernando Alonso
À en juger par le ton de ses messages radio, on ne le dirait pas, mais Alonso est bien l'un des grands gagnants de cette course.
L'Aston Martin n'avait finalement pas la vitesse fulgurante des essais, donc décrocher une place en Q3 était déjà une belle performance.
Puis, en course, il a encore fait des miracles : d'abord en se battant pour mener le peloton du milieu de grille, puis en remontant après l'arrêt au stand d'une lenteur exaspérante qu'il a subi (d'où sa frustration audible par tous).
Après l'arrivée, nouvelle tirade à la radio, où Alonso a répété quatre fois "J'y crois pas, putain" à propos des derniers tours de Lewis Hamilton, avant de demander à son équipe : "C'est sûr de piloter sans freins ?".
La FIA a jugé que non, infligeant une pénalité à Hamilton et offrant une place de plus à Alonso. On croit donc beaucoup plus facilement l'Espagnol quand il affirme avant le week-end qu'il pilote "mieux que jamais".
Ollie Bearman
Ollie Bearman a marqué ses premiers points depuis Zandvoort dans une course âprement disputée, qui aurait pu se terminer avant même de commencer.
Il s'est fait toucher par Hadjar au premier tour et a dû couper le virage, mais a évité la crevaison. Ensuite, il a fait son bonhomme de chemin, a dépassé Hadjar au deuxième relais en guise de vengeance, et a récupéré sa neuvième place. Une course simple et efficace, exactement ce dont il a besoin pour faire taire les critiques sur son inconstance.
Carlos Sainz
Quand James Vowles a déclaré samedi que Williams "ferait tout son possible" pour se battre pour les points après la disqualification de ses deux voitures, ça ressemblait à un vœu pieux. Remonter dans le top 10 en partant et de la voie des stands, sans voiture de sécurité ? Impossible...
Et pourtant ! Course et pilotage parfaitement exécutés par Williams et Sainz, qui avait de nouveau la banane après avoir affiché une mine déconfite après les qualifs.
La clé de sa course ? Comme il l'a dit, faire passer "le pneu medium pour un pneu dur" et boucler un relais de 50 tours pour préparer une charge finale en pneus tendres. C'était un beau rattrapage, mais le meilleur est peut-être encore à venir.
Les flops
Par où commencer?
Piastri avait vraiment besoin d'un week-end solide après son cauchemar à Bakou, et tout se passait bien... jusqu'à la course, où ça a fait un flop monumental.
Il a été victime du contact avec Norris au premier virage, mais semblait aussi globalement plus lent dans le premier relais. Même si McLaren avait voulu inverser les positions, ils n'auraient probablement pas pu.
Piastri s'est rapproché après une éternité passée à voir Norris coincé dans l'air sale de Verstappen, mais au final, il était clairement le second couteau chez McLaren aujourd'hui.
Une deuxième course décevante d'affilée, mais heureusement pour lui, pas trop de points perdus.
Yuki Tsunoda
Le déclic ? Quel déclic ?
Malheureusement, le week-end encourageant de Yuki Tsunoda à Bakou n'a pas eu de suite à Singapour. Il a raté ses qualifs et a gagné plus de places avant la course (deux, grâce à la disqualification des Williams) qu'il n'en a gagnées pendant (une seule). C'est d'autant plus rageant que Red Bull revient en forme. Tsunoda termine à un tour complet de Verstappen, et même derrière la Racing Bulls blessée d'Isack Hadjar...Ouch
Isack Hadjar
... En parlant de la Racing Bulls blessée d'Hadjar, quelle course de sa part ! Malgré des problèmes de moteur, il a lutté pour finir 11èm , ne perdant le point de la 10ème place que dans les derniers tours face à un Carlos Sainz déchaîné en pneus tendres. Hadjar a été clairement le meilleur pilote Racing Bulls du week-end, mais il est dans la catégorie "flop" parce que ce problème moteur lui a coûté des points.
Sa malchance a offert un point inespéré à Williams, alors que son équipe aurait dû grignoter son avance pour la cinquième place des constructeurs.
Ferrari
Des qualifications profondément décevantes, suivies d'un Grand Prix tout aussi décevant.
Charles Leclerc a passé Kimi Antonelli au départ, mais alors qu'il gérait ses freins, Antonelli l'a surpris au coin du bois avec une manœuvre encore plus agressive.
Hamilton a ensuite boitillé jusqu'à l'arrivée juste devant Alonso, mais pas sans couper la piste assez de fois pour écoper d'une pénalité qui l'a fait chuter derrière l'Espagnol.
Comme l'a dit Leclerc, les pilotes ont juste l'impression d'être des "passagers dans la voiture" et ne peuvent que rêver de voir Ferrari faire les mêmes progrès que Red Bull ou Mercedes.
Nico Hülkenberg
Hülkenberg se fait un peu chahuter ces derniers temps, mais il avait une chance de calmer le jeu en partant P11. Au lieu de ça, il a tiré tout droit au départ, a cassé un aileron au 43ème tour, puis est parti en tête-à-queue un tour plus tard. Le seul point positif est qu'il a réussi à faire son tête-à-queue avec une telle grâce qu'il s'est retrouvé dans le bon sens pour repartir sans rien toucher. Un deuxième arrêt pour changer d'aileron l'a condamné à la dernière place.
"l'Empire d'Essence" de J. Klaxon aux Editions Catbert
Quelle pleureuse Piastri.
Un pti contact (fait de course) et il chiale à gogo ... alors qu'il ne perd que 3 misérables points
dommage qu'il n'ait pas fini dans le mur au départ
Parfois on regarde les choses, telles qu'elles sont, en se demandant pourquoi.
Parfois on les regarde, telles qu'elles pourraient être, en se disant pourquoi pas.
Globalement d'accord avec le CR de Casimir, je déplore quand même le regrettable oubli de Verstappen dans les Top
Pas du tout d'accord avec Zing concernant "Piastri la pleureuse". La philosophie de McLaren a été, durant la saison en cours, de laisser ses pilotes se battre avec une clause claire pas d'accrochage entre eux... et pourtant ! A mon avis, il devient de plus en plus évident que Norris est favorisé par rapport à Piastri. Une sorte de prime d'ancienneté ?
Quand je lis ce que je lis, quand je vois ce que je vois, quand j'entends ce que j'entends, je suis heureux de penser ce que je pense
FerruccioSV a écrit :
On en sait plus sur les problèmes de Verstappen?
oui, c'est clairement une pleureuse
"les routes d'Ardèche, y'a que ça de vrai..." A.Senna
"Je vais vite, je m’entraîne a pas perdre une seconde..." Lorie
"Ne prenez pas la vie au sérieux, de toute façon vous n'en sortirez pas vivant" Fontenelle
Parfois on regarde les choses, telles qu'elles sont, en se demandant pourquoi.
Parfois on les regarde, telles qu'elles pourraient être, en se disant pourquoi pas.
Parfois on regarde les choses, telles qu'elles sont, en se demandant pourquoi.
Parfois on les regarde, telles qu'elles pourraient être, en se disant pourquoi pas.
Parfois on regarde les choses, telles qu'elles sont, en se demandant pourquoi.
Parfois on les regarde, telles qu'elles pourraient être, en se disant pourquoi pas.
Parfois on regarde les choses, telles qu'elles sont, en se demandant pourquoi.
Parfois on les regarde, telles qu'elles pourraient être, en se disant pourquoi pas.
on en parle du mec qui vient d'aligner 3 victoires et 2 deuxièmes places sur le 5 derniers GP,
qui est revenu de 104 à 40 points de Piastri ?
Il semble évident que Max est tjs au top, égal à lui même,
que Redbull a trouvé qqchose,
par contre je ne comprends pas comment McLaren est passé d'hyper dominateur à 2è ou 3è force du plateau.
Ne parlons même pas de Piastri qui fait dans son froc ...
Je ne m'emballe pas encore trop, mais quel retournement de situation ce serait
encore mieux que 2021
Parfois on regarde les choses, telles qu'elles sont, en se demandant pourquoi.
Parfois on les regarde, telles qu'elles pourraient être, en se disant pourquoi pas.
Même côté constructeur, ça risque de tt changer et il va ramener RB à la 2è place tt seul
Pos Team Pts
1 McLaren 678
2 Mercedes 341
3 Ferrari 334
4 Red Bull 331
5 Williams 111
6 Racing Bulls 72
7 Aston Martin 69
8 Kick Sauber 59
9 Haas 48
10 Alpine 20
Parfois on regarde les choses, telles qu'elles sont, en se demandant pourquoi.
Parfois on les regarde, telles qu'elles pourraient être, en se disant pourquoi pas.
Sinon, il y a aussi Alpine qui a été grandiose ...
Dire à Colapinto de rester derrière Gasly alors qu'il n'avance plus, que Bortoleto revient fort derrière et risque de les bouffer tous les 2, c'était du grand n'importe quoi
Parfois on regarde les choses, telles qu'elles sont, en se demandant pourquoi.
Parfois on les regarde, telles qu'elles pourraient être, en se disant pourquoi pas.